Thomas...

Nous sommes si petits, maintenant. Sans toi. Tu as gagné l'infini et l'éternité.     Nous te pleurons tous car tu étais la tendresse même. Je sais que tu sais mais je veux te dire combien tu es présent en nous, tes proches et ceux aussi qui te connaissaient peu. Tous pensent à toi. Ils me disent la bonté de ton regard, ta gentillesse, ta sympathie, ton sourire...

Pourquoi ? Toi, si heureux sur ta moto et soudain l'accident. Cette voiture qui ne te voit pas. Comment est-ce possible ? Ce film dans ma tête... Nous restons sans toi et brisés à jamais dans un accident qui tourne en boucle sur nos jours et nos nuits...

S'il vous plaît, vous qui avez et aurez un jour un volant entre les mains, n'oubliez jamais que vous tenez la vie, pas la mort, non, pas la mort !

Florence
(France)

Le 22 décembre...