Le 18 novembre, sans crier gare, tu nous as quittés. Je ne sais pas si tu le savais que cela t'arriverais, mais tu ne peux pas imaginer le vide que tu laisses derrière toi... Perdre une personne comme toi, Maman, est une épreuve difficile. Tu nous as transmis ta bonté et le courage qui t'habitait. Tu laisses à tous ceux qui ont eu la chance de te côtoyer un exemple d'amour et d'oubli de soi, ainsi que le désir profond de se dépasser et de devenir nous-mêmes de meilleurs êtres humains.
Le vide qui m'habite est inexplicable, intolérable. Tu faisais partie de mon quotidien. Tes téléphones me manquent, ton odeur, ton souffle, je te cherche le soir dans ma maison...
Merci de la dernière soirée passée en ta présence, je ne l'oublierai jamais. Merci de ta présence pour moi. Tu pars et je n'ai aucun regret de choses que j'aurais dû faire avec toi tellement nous avions une relation privilégiée, toi et moi.
Je te souhaite un bon voyage. Continue de venir encore un peu me visiter avant de te transformer en ange... Continue de venir dans mes rêves, j'en ai besoin Moushka. Je t'aime.
Ta fille,
Sandrine
St-Félix-de-Kingsey (Québec)