24 ans à combattre le Parkinson bravement sans se plaindre. Il est parti... j’aurais voulu partir avec lui. Je ne veux m’attacher qu’à des objets significatifs, les vêtements (sauf certains chandails dans lesquels il était si beau) ça ne veut rien dire.
Le plus beau c’est dans mon cœur, ce cœur qui a tellement mal. Je lui écris tous les soirs en espérant qu’il me réponde un jour. Je l’aimerai toujours et il me tarde de le retrouver.
Claire